TROLLSPORTS Running | » on a du mal à courir sans objectif, sans course »

TROLLSPORTS Running | » on a du mal à courir sans objectif, sans course »

1 jour, 1 association | Quotidiennement, une association est présentée par un de ses dirigeants.

En ce samedi, c’est Stéphanie Montesinos, présidente depuis mars 2019, date de création de l’association, qui répond aux questions de la rédaction :


  • Quelle est son activité et effectif actuel ?

» Activité principale : running en entraînement et lors de courses officielles.

Effectif : 8 femmes, 14 hommes et 0 enfant. Nous avons eu juste une année d’existence avant que le Covid arrive, donc l’association n’a pas eu le temps de se développer davantage « .


  • Comment s’était passé le 1° confinement et aviez vous mis du personnel au chômage ?

» Nous n’avons pas de personnel, nous ne sommes que des adhérents et des volontaires.

Lors du 1er confinement toute l’activité s’est arrêté. Même aujourd’hui les adhérents ont dû mal à ressortir, à refaire du sport même si notre sport se déroule à l’extérieur « .


  • Et la reprise des activités à la rentrée de septembre ?

» Reprise avec très peu d’adhérents motivés. N’ayant plus aucune course programmée, les adhérents ont beaucoup de mal à courir sans objectif, sans course ».

  • Avez-vous été contraints d’annuler des évènements ?

» Oui car pendant nos entraînement nous faisions 1 fois par trimestre une course tous ensemble avec un repas à la fin de l’entraînement qui permettait de motiver les troupes. Depuis mars 2020 nous ne pouvons plus réaliser ce type de rassemblement fédérateur et cela pénalise beaucoup notre association ».

  • Comment se déroule ce 2° confinement ?

» Pas d’évolution positive avec le 2° voire le 3° confinement qui se profile. La motivation est au plus bas alors que pour ma part je trouve ressourçant d’aller courir en plein air ».


  • Conséquences financières ou autres ?

» Pour le moment pas d’impact financier car nous n’avons pas de salarié, pas de charges fixes « .

  • Et pour conclure ?

» Le monde associatif souffre aussi des impacts collatéraux du covid comme beaucoup de secteur. Néanmoins, il est possible de faire des choses, certes différentes que nos habitudes mais soyons créatif et positif «.



 

 

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