Maxime Gaymard  » j’aime l’idée de s’enfuir en courant de Saint-Etienne pour rallier la sublime ville de Lyon « 

Maxime Gaymard  » j’aime l’idée de s’enfuir en courant de Saint-Etienne pour rallier la sublime ville de Lyon « 

Cet ancien basketteur et récent licencié à l’ASVEL Triathlon sera samedi soir au départ de la Saintélyon avec l'objectif d'arriver en moins de 8 heures.

Petite présentation :

« J’ai 23 ans, je suis dans ma 5° année d’études supérieures, en Master Management de Projet, en alternance, où j’occupe le poste de Coordinateur de projet logistique.

Je réside à Villeurbanne depuis 3 ans, je vacille souvent avec la commune de Cours la Ville dans le Beaujolais Vert, lieu où j’ai grandi et réside ma famille ».

Depuis quand pratiquez-vous la course à pied ? d’autres sports avant ?

« J’ai pratiqué le Basket-ball dès mes 6 ans, pendant 17 ans, où j’ai eu la chance d’intégrer le centre de formation de La Chorale de Roanne pendant 2 ans, me permettant d’évoluer dans le championnat de France U15.

J’ai commencé a pratiqué la course à pied vers l’âge de 15 ans, au lycée, pour les événements UNSS (raid, run& bike, cross…). Puis, plus les années se sont écoulées, plus il y a eu de course à pied et moins de basket-ball ».

Etes-vous licencié en club et depuis quand ?

«Je suis aujourd’hui un très récent licencié au Club de l’ASVEL Triathlon, depuis septembre 2022».

Pourquoi avoir choisi la Saintélyon ? l’avez-vous déjà disputé ? des marathons ou trails LD au compteur ?

« La SaintéLyon, pour moi, c’est avant tout un clin d’œil pour mon Papa, ancien marathonien, qui nous a quittés il y a moins de 2 ans, avec qui nous avions prévu de faire cette course ensemble.

Mais aussi : j’aime beaucoup l’idée de s’enfuir en courant de Saint-Etienne pour rallier la sublime ville de Lyon.

Aujourd’hui, je n’ai pas réellement réalisé de trail longue distance, si ce n’est le Trail des Coursières (54 km, 2.400 D+) effectué en Mai dernier. Au contraire, j’ai déjà réalisé 2 marathons, le premier sur l’Iron Man d’Hourtin en octobre 2021, et le second en Avril dernier où j’ai réussi à passer sous la barre des 3 heures (non sans souffrance) ».

Comment et depuis quand avez-vous préparé cette épreuve ?

« J’ai eu chance d’avoir rejoint le Team Sport 2000 Pays de Tarare, il y a environ un an, qui m’aide au niveau de mon équipement, mais aussi avec un plan d’entrainement personnalisé, réalisé par un ami du lycée, Tom.

La préparation pour la SaintéLyon à commencer assez tôt, fin septembre, à la fin de ma saison de triathlon.

Où j’ai très vite accroché des dossards sur des distances courtes, sur des trails de village, pour réaliser de l’intensité et développer ma vitesse sur les sentiers, puis il y a eu une phase d’endurance où j’ai réalisé de nombreuses heures sur le vélo et sur les sentiers à basse intensité, et enfin, dernièrement, j’ai participé au LyonUrban Trail by Night, pour se rapprocher des conditions de nuit et de froid de la SaintéLyon ».

Vos points forts dans cette discipline ?

« Je pense que mon point fort serait que j’aime courir tout simplement, très peu de séances présentes dans mon plan d’entrainement passent à la trappe.

Dans la nuit du 3 au 4 décembre qu’importent les difficultés, je serais heureux d’être là, heureux de courir ».

Quel est votre objectif au départ ?

« L’objectif sera d’arriver dans la Halle Tony Garnier en moins de 8 H, ce qui me placerait dans le premier 1/10 ».

Quelle serait la météo idéale pour vous et comment comptez- vous gérer la course ?

« Le froid ou une petite pluie ne me font pas spécialement peur, au contraire d’un temps brumeux ou orageux.

Mon frère sera présent sur les ravitaillements pour mon assistance, il pourra m’indiquer ma position par rapport à mes temps de passage que j’aurais établi en amont, il pourra aussi me fournir un peu de la nutrition spécifique dont je suis habitué à l’entrainement ».



 

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